HORS LES MURS

Nous sommes heureux de vous retrouver à Lyon pour la septième édition du salon du dessin contemporain LYON ART PAPER, du 7 au 10 octobre 2021. Nous avons été sélectionné et nous sommes fier d’y présenter les œuvres sur papier de l’artiste Alexandre Gilibert.

Les œuvres de l’artiste Alexandre Gilibert sont une ode au silence, à la paix de l’âme, à l’immuable – à l’éternel serais-je tenté de dire. Il y a une impression d’éternité, un sentiment d’immanence dans ces fragments de nature. Nul vent, nulle présence ne vient troubler la végétation. Le sol est là, visible ou non, mais perceptible. Les arbres, les roches s’y ancrent, et paraissent avoir été là depuis toujours, être voués à y rester pour toujours. Le sol est le socle sur lequel reposent ce motif, ces figures, statues d’une civilisation oubliée ou ignorée. La présence de l’artiste ne perturbe en rien ce microcosme. Mais son regard l’exhume, le transmue en paysage, et le projette dans d’autres temporalités.
D’épreuve en œuvre, le motif est tamisé, criblé par le geste de l’artiste. L’instantané d’une nature intemporelle devient la matrice d’un lent et patient travail artistique. Un dialogue s’établit avec l’artiste dans l’atelier : c’est le temps de la création, de la mue en paysage. Un temps qui sépare l’instant de l’éternité, ou plutôt qui les relie. L’œuvre immortalise le moment et l’expérience originels, et la Nature immémoriale se métamorphose en paysage projeté dans le hic et nunc.
Le travail d’Alexandre Gilibert s’immisce ainsi dans des interstices temporels complexes et son œuvre repose dans une sorte d’achronie troublante. Elle renvoie à des archétypes et à des expériences singulières, à l’immuable et au fugace… Les temporalités se télescopent et interrogent profondément le statut et la nature de ces paysages.
(Thomas ANDRÉ – Extrait du livre Éprouver le paysage)

LYON ART PAPER 2021
7è édition du salon du dessin contemporain
DU 7 AU 10 OCTOBRE 2021
Vernissage mercredi 6 octobre à 18h30
Palais Bondy – 18/20 quai de Bondy – 69005 Lyon

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L’association 2L2M qui gère la N5 Galerie et la galerie le lieu multiple montpellier reçoit le soutien de la Ville de Montpellier et du Conseil régional Occitanie

DRAWING DRAW #5

N5 Galerie et Le lieu multiple montpellier font leur rentrée à l’unisson avec la cinquième édition du salon du dessin contemporain Drawing draw, qui propose des regards croisés d’artistes autour de la pratique du dessin, sous des formes diverses.

À la N5 Galerie, (re)découvrons le travail de Stéphane Dupuis, Hélène Hampartzoumian et Mme S. …

Extraits d’œuvres de Mme S., Stéphane Dupuis et Hélène Hampartzoumian, artistes présentés à la N5 GALERIE


Des instants de vie, des stylos à bille, de la patience, de l’imagination et l’être humain dans son milieu urbain : tels sont les ingrédients qui composent le travail de Stéphane Dupuis. L’artiste pose un regard neutre mais curieux sur notre monde où les codes de communications changent et se reconstruisent. De la pointe de ses stylos et avec une impressionnante précision, l’artiste donne vie à des personnages qui semblent détachés du monde réel, en totale immersion dans un univers numérique et immatériel. D’une gestuelle anodine d’un quotidien jaillit alors tout l’implicite de notre société actuelle. De son trait bleu ininterrompu qu’il couche sur le papier, Stéphane Dupuis représente le vivant avec une force et un réalisme surprenant. Pourtant ce dynamisme apparent trahit la solitude moderne de la virtualité, dévoilant l’ambiguïté et l’antagonisme de l’être humain.


La pratique du dessin chez Hélène Hampartzoumian commence avec une base au trait fin à l’encre qui se déploie en créatures étranges, toutes inspirées par la nature, le plus souvent végétale. Une sorte d’invasion / profusion d’espèces, uniquement contrecarrée par la présence de délimitations géométriques imposant les limites de l’exercice. Contournement d’obstacles, zone de densité et de contraste, amas très serrés, c’est un jeu de lutte pour conquérir la place qui nous revient et ouvrir les horizons. Dans son nouveau travail à partir de collages de gravures anciennes, elle revisite les tableaux de scènes bibliques pour la plupart, redonne une place centrale aux personnages féminins, pose un autre regard, invente une autre mise en scène et raconte une nouvelle histoire pour des tableaux qui retentissent encore aujourd’hui par l’expression de leurs émotions.


L’artiste plasticienne Mme S. compose un répertoire de ses rêveries nocturnes. Elle nous livre un univers intime, sensible et poétique dans lequel le sentiment amoureux s’illustre avec une extrême délicatesse et une sensualité à fleur de peau. L’artiste couche ses belles endormies, faites d’encre et de crayons, sur un papier qu’elle brûle soigneusement lui conférant l’apparente fragilité d’une
dentelle. « Je brûle, je m’enflamme, me consume » semble-t-elle vouloir nous dire. Ces femmes sont dénudées, alanguies, somnolentes. Mais sont-elles délivrées de leurs songes ou sont-elles liées par eux ? Le lien, c’est bien ce dont il est question. Exprimer des sentiments à travers la représentation de liens, de cordes, de nœuds qui entourent le sujet, quand l’artiste veut évoquer le lien, l’attachement, l’emballement. Amoureusement enlacées, les yeux et leurs bouches closes, ses belles endormies (référence à une célèbre estampe japonaise d’Hokusai, Le Rêve de la Femme du Pêcheur, de 1814) nous transportent dans un voyage nostalgique, érotique et surtout
initiatique.


Le salon du dessin contemporain DRAWING DRAW #5
Stéphane Dupuis, Hélène Hampartzoumian et Mme S.

Vernissage vendredi 3 septembre 2021 dès 17h en présence des artistes
Exposition du 3 septembre au 2 octobre 2021
du mercredi au samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h30

Et à la galerie le lieu multiple montpellier, dans le cadre du salon du dessin contemporain DRAWING DRAW #5, (re)découvrons le travail de Fabrice Cazenave, Anaïs Pélaquier et Anne Pons – En savoir plus

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LA PRESSE EN PARLE …

Septembre/octobre 2021
Septembre/octobre 2021

© N5 GALERIE / Les visuels des œuvres présentés sur ce site ne sont pas libres de droits. Pas d’utilisation commerciale ni de modification autorisées sans notre autorisation.

NO PROHIBIDA

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Depuis l’Antiquité les artistes ne cessent d’interpréter le désir amoureux, de saisir une pulsion charnelle : c’est l’instinct le plus universel dans l’histoire de l’homme à travers l’art. L’érotisme a inspiré quelques-unes des plus belles créations de l’histoire de l’art (des peintures de Botticelli, des sculptures de Michel-Ange, Rodin ou Louise Bourgeois pour ne citer qu’eux). Mais voilà, ce qui est considéré comme beau et sensuel par l’un, est jugé lascif et obscène par l’autre. De nombreux artistes, en leur temps, en ont d’ailleurs fait les frais (Courbet et L’origine du monde, Rembrantd et Le lit à la Française, ou plus proche de nous des artistes comme Nan Goldin, Mapplethorpe, …).
L’érotisme et la sexualité dans l’histoire de l’art ne s’expriment pas de la même façon au fil des siècles. La création suit l’évolution de la société, se faisant plus explicite aux périodes libérées … Et ce n’est pas sans poser problème ! Hier, aujourd’hui et inévitablement demain.
Faisant fi de la montée en puissance de la critique morale et de la censure actuelle, nous vous proposons une vision subtile, plurielle et décloisonnée du sexe, des fantasmes et du désir à travers le regard de 26 artistes, soit une sélection de plus d’une centaine d’œuvres sublimant les corps, les sexualités et l’érotisme.

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Ici, une peinture d’André Cervera évoque un libertinage réjouissant représenté par une généreuse variété d’instruments de plaisir , là, Julie Dalmon dessine des étreintes sur des omoplates de veau. Puis, une sculpture de Matthieu Faury nous donne à découvrir un homme enceinte (qui s’inspire de l’histoire vraie de Thomas Beatie, transgenre). En regardant de plus près cet autre œuvre signée Claudie Dadu, on distingue des scènes X dessinées au cheveu. Là, une fiole en verre remplie de l’urine de Charlotte Caragliu au titre évocateur de Golden shower trésor. Des dessins au graphite d’Yves Helbert (qui entreprend savamment le nu dans l’art du selfie) côtoient des textes débridés brodés sur des sacs à main de Benedict Vallas … : la multiplicité des représentations et des médias nous offre décidément de bien voluptueuses émotions !

Comme une invitation à une rencontre entre désir et imaginaire, cette exposition n’a pas seulement vocation à séduire le spectateur « averti », mais à le transporter …

« NO PROHIBIDA » du 13 mai au 18 juillet 2020
CETTE EXPOSITION EST DESTINÉE À UN PUBLIC AVERTI !

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Les artistes Juli About, Æ, François Benard, Laure Boin, Corine Borgnet, Charlotte Caragliu, Axelle Carruzzo, André Cervera, Stéphanie Chardon, Marie-Cécile Conilh de Beyssac, Claudie Dadu, Julie Dalmon, Karine Debouzie, Léo Dorfner, Matthieu Faury, Yves Helbert, Cécile Hug, Amélie Joos, Cendres Lavy, Stéphanie Lobry, Michèle Mascherpa, Florence Mirol, Gilles Olry, Julie Perin, Mme S., Bénédict Vallas.

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UNE PARTIE DES ARTISTES LORS DE L’APRÈS DÉCROCHAGE DE L’EXPOSITION

LA PRESSE EN PARLE

Retour complet et documenté sur l’exposition « NO PROHIBIDA » par Jean-Luc Cougy pour le site « en revenant de l’expo ».
Pour lire l’article, cliquez sur l’image ci-dessous.

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Animus

Artiste virtuose du dessin à la mine de plomb et au fusain, Laure Boin nous avait émerveillés avec ses « Bondieuseries » présentées à la N5 Galerie en 2016. À partir du 5 novembre 2019, pour cette nouvelle exposition, elle invite notre regard et notre esprit à pénétrer un autre monde, celui de ses « Animus ».

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L’artiste explore cette fois les conditions humaine et animale, sur un pied d’égalité, au travers de scènes de la vie quotidienne dont les protagonistes – amis et amies mis.es à nu par l’artiste pour la plupart – prennent les traits d’animaux les plus divers.

Biches, chiens, chats, vaches, poules, loups, oiseaux, cerfs, moutons se confondent totalement avec l’identité même de ces personnages hybrides qui nous touchent tant par leur humanité que par leur animalité. La frontière entre ces êtres vivants pleins d’expressions et de sensibilité s’estompe totalement et nous donne à réfléchir, comme légendes et mythologies l’ont fait de tout temps, aux questions de l’identité, des genres et du vivant.

Avec élégance, beaucoup d’humour et de sensibilité, les émouvants Animus de Laure Boin, faits de millions de petits traits à la mine de plomb, nous renvoient à l’essentiel, à ce que nous sommes véritablement, de fantastiques animaux parmi d’autres.

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Indiana – Mine de plomb sur papier – 115x150cm – 2018 – © Laure Boin – N5G

Laure Boin est une artiste reconnue qui vit et travaille dans la région. Après des études à l’École supérieure des arts appliqués Duperré à Paris et une carrière dans le graphisme, l’illustration et le stylisme, Laure est revenue à ses passions d’enfant, le dessin et la peinture. Libre et fondamentalement pluridisciplinaire, elle change de média au gré de son inspiration et de ses envies. Son travail est instinctif, éclectique et transcrit un univers très personnel en constante évolution.

« Animus » de Laure Boin, du 5 novembre au 31 décembre 2019
Du mercredi au samedi, de 10h à 13h et de 14h à 18h30
Vernissage le mardi 5 novembre 2019 de 18h à 20h30

Retour en images sur l’exposition

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Pour toutes demandes particulières merci de nous contacter.

N5 GALERIE est en partenariat avec la galerie le lieu multiple montpellier pour assurer la direction artistique des expositions et des évènements.

EXERCICES DE STYLE #4

Pour la quatrième année consécutive, nous vous proposons une rentrée sous le signe du dessin contemporain, en vous présentant cette année les œuvres de Michèle Mascherpa et d’Yves Helbert. Entre regards croisés et dialogues d’artistes privilégiant la pratique du dessin sous diverses formes, l’esprit du spectateur sera confronté à l’image, sans pour autant être guidé vers une interprétation jugée plus juste qu’une autre. Les dessins de ces deux artistes sont teintés d’humour, apparemment léger et délicat. Ils laissent pourtant planer le doute, s’affranchissant des clés de lecture habituelles pour qu’en adviennent de nouvelles.

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Yves Helbert est un artiste autodidacte, qui a fait seul ses classes devant les tableaux des grands maîtres qui l’ont précédé. Avec la distance et l’humour que semble avoir exacerbé chez lui son apprentissage en solitaire, il se fait à la fois artiste et historiographe d’une histoire de l’art, puisant ses références dans des œuvres emblématiques qu’il convoque, revisite et réactualise. Il ajoute au dessin au graphite une seconde réalité, calligraphiée et intempestive. Au trait sûr et minutieux, des « titres » sont juxtaposés, créant un trouble… Ces expressions « imagées » et courantes de la langue française paraissent associées de manière arbitraire (clin d’œil malicieux au surréalisme de Magritte), tout en restant dans les thèmes qui sous-tendent les interrogations de l’artiste : rapport à la nature, à la politique, à la nostalgie, à l’esthétique…

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Michèle Mascherpa dessine comme elle écrit, écrit comme elle dessine. Son écriture devient plastique et prend une place considérable dans son travail. Elle pratique l’allusion, la figure de rhétorique consistant à dire une chose avec l’intention d’en faire entendre une autre. Elle revient à l’essence même de l’écriture comme geste, le mot est parfois lisible, compréhensible et parfois il devient un élément graphique à part entière. Ses dessins sont réalisés de manière très spontanée sur un papier préparé de longue date, qui mature tel un épiderme et se charge d’éléments graphiques et de collages. Les dessins et les textes s’y inscrivent en profondeur. Le temps est à l’œuvre dans chaque pièce, il évolue, restitue ou avale ce qui y a été accueilli au moment de la réalisation. La technique de la gravure (de l’allemand graben : creuser) s’est imposée à Michèle Mascherpa, elle lui permet un travail en profondeur en plusieurs étapes. Le moment de l’encrage est essentiel dans son processus de création, éloigné de la technique pure, elle renoue avec les gestes du peintre, ce qui fait de chaque épreuve une pièce unique.

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+ artiste invitée : Dominique Lonchampt
À découvrir dans le premier espace de la galerie.

Depuis son exposition présentée à la galerie en 2016, Dominique Lonchampt a poursuivi ses recherches sur l’expression du minéral dans tous ses états, utilisant le papier comme empreinte et emprunt, au sens du prélèvement de forme-matières.
Nous sommes heureux de vous faire découvrir ses nouvelles œuvres qui s’affichent dans leur modestie de “pierres des chemins”: le papier épouse des formes existantes dans l’espace littéral et, par « frottage », révèle des lignes à décrypter, pour entamer tel le géologue, un voyage à travers le temps. Les kerns sont marques de passage, comme le geste qui, muni de mine de plomb ou de poudre de graphite, trace des cercles, universels, intemporels, prémices d’un univers en formation.
Il est question ici du « temps géologique », mais aussi du « temps humain », matérialisé par des volumes simples et légers. Le papier devient « peau » à voir et à penser. L’artiste Dominique Lonchampt manie l’art de la « transfiguration », nous propose de nouvelles lectures et ouvre ainsi le théâtre de notre imaginaire.

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Disque – technique mixte sur papier marouflé sur tarlatane ‐ diamètre 55 à 60 cm – fixé sur châssis toile

Exposition « Exercices de style #4 »
de Michèle Mascherpa et Yves Helbert
+ artiste invitée : Dominique Lonchampt
du 3 septembre au 19 octobre 2019
Vernissage le mardi 3 septembre 2019 de 17h à 20h

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N5 GALERIE est en partenariat avec la galerie le lieu multiple montpellier pour assurer la direction artistique des expositions et des évènements.

 

La règle du jeu

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Pour la troisième année consécutive, nous vous proposons une rentrée sous le signe du dessin contemporain, autour du salon Drawing room 2018, en vous présentant cette année les œuvres de Céline Marin et Maxime Parodi.

Matt Mullican dit que «
le dessin traduit une manière de penser ».

Céline Marin et Maxime Parodi, deux artistes niçois de la même génération, proposent ici le résultat d’un jeu réalisé à quatre mains… Ils ont décidé au préalable des règles de celui-ci, pour s’obliger mutuellement à emprunter une voie nouvelle dans leur pratique personnelle du dessin, en ménageant une ouverture à l’aléatoire.
Ainsi ont-ils eu recours à un générateur de mots en ligne attribuant, pour chaque dessin à exécuter, trois mots. Chaque artiste a produit à partir de cette pioche aléatoire, permettant ensuite une confrontation et une collaboration sur un terrain neutre, faisant fi de toute subjectivité sur le fond afin de mieux la révéler dans la forme.
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Il s’agit par ailleurs pour l’un comme pour l’autre de se laisser la liberté de produire en dehors de ses préoccupations habituelles, retrouver le plaisir du « dessin pour le dessin » sans que ce dernier ne s’inscrive dans un plus vaste projet, l’extraire du travail de série commun à chacun des deux.
Avec cette production commune sous contrainte ouvrant la constitution d’une imagerie commune, l’imaginaire et le style de chacun est impliqué et préservé, tout en proposant des récits ou fictions multiples…et nouveaux !

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Exposition « LA RÈGLE DU JEU » de Céline Marin et Maxime Parodi
Du 4 septembre au 20 octobre 2018
Vernissage le mardi 4 septembre de 17h à 20h30
Autour du salon Drawing room 2018
en partenariat avec la galerie le lieu multiple montpellier

Retour sur les éditions précédentes :
Autour du salon Drawing room 2017
Autour du salon Drawing room 2016

Retour en images sur le vernissage :

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La presse en parle :

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« La règle du jeu » – Septembre 2018

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